CC 6500 : destination terminus ... |
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Le dimanche 12 décembre 2004 : le lendemain de l'arrêt du roulement régulier des CC 6500 au service FRET, une douzaine de 6500 étaient à disposition au dépôt de Miramas. Afin de dégager le dépôt, un train de machines est organisé pour rappatrier les 6500 condamnées vers leur dépôt titulaire à Lyon. On voit ici ce train de machines remorqué par la 6565 encore active au passage en gare du Thor, entre Miramas et Avignon.
(Photo Fabrice Douhet)
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Le 9 décembre 2004, la CC 6510 achemine 8 de ses soeurs vers "l'antichambre de la mort", à Roanne . En gare de Saint-Etienne, la 6510 cédera la place à une UM de diesels.
(Photo Fabrice Douhet)
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En janvier 2005, triste spectacle à Roanne ...
(Photo Fabrice Douhet)
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Tout début juillet 2005, les condamnées occupent deux voies.
(Photo Fabrice Douhet)
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vi |
L'acheminement vers le ferrailleur de Baroncourt de la quarantaine de CC 6500 stockées provisoirement à Roanne s'est effectué en 4 fois durant la première quinzaine de juillet via Lyon, Dijon et Chalindrey.
On voit ici le convoi du 7 juillet avec les CC 6507, 6511, 6509, 6556, 6531, 6506, 6537, 6573, 6518 et 6523.
(Photo Fabrice Douhet)
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A Baroncourt en août 2005.
En moyenne, une CC 6500 était dépecée chaque jour par ces engins mécaniques dotés de pinces coupantes d'une efficacité redoutable.
(Photo Fabrice Douhet) .
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Vision poignante de la 6573.
Alors que la 6573 était l'une des plus belles machines en service jusqu'en décembre 2004, la voici bien proche de la fin ...
Si vous ne pouvez résister à cette image, cliquer ici pour retrouver la 6573 en pleine vie !
(Photo Fabrice Douhet)
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Le sigle SNCF de cette 6500 est broyé par les pinces de l'engin chenillé. Au centre, ce qui ressemble encore à une 6500, à droite et à gauche ce qu'il va en advenir : un tas de ferrailles.
(Photo Fabrice Douhet)
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